Le Qatar veut s’implanter dans le marché marocain des énergies renouvelables
31/10/25 14:48
Une nouvelle dynamique économique entre Rabat et Doha semble se dessiner. Lors d’une récente rencontre entre la Chambre de Commerce du Qatar (Qatar Chamber) et la Fédération Nationale de l’Électricité, de l’Électronique et des Énergies Renouvelables du Maroc (FENELEC), les deux parties ont exprimé leur volonté de renforcer la coopération bilatérale dans les domaines de l’énergie, de la technologie et de l’investissement industriel.
Un partenariat économique en construction
Cette réunion, qui s’est tenue à Doha, marque une étape importante dans la consolidation des relations économiques entre les deux pays. Les discussions ont porté sur les opportunités offertes par le Maroc dans le secteur des énergies renouvelables — notamment le solaire, l’éolien et les technologies électriques — ainsi que sur les possibilités d’investissement qataries dans l’industrie marocaine en pleine modernisation.
Selon la Qatar Chamber, les échanges commerciaux entre les deux pays ont atteint près de 988 millions de rials qataris en 2024, soit environ 2,77 milliards de dirhams marocains. Un chiffre qui témoigne d’une relation déjà solide, appelée à croître avec le développement du secteur énergétique vert.
Le Maroc, un hub énergétique africain
Grâce à ses politiques ambitieuses en matière de transition énergétique, le Maroc attire depuis plusieurs années de grands acteurs internationaux. Le Royaume vise à porter la part des énergies renouvelables à plus de 50 % de son mix énergétique d’ici 2030. Des projets emblématiques comme le complexe solaire Noor à Ouarzazate ou les parcs éoliens de Tarfaya et Midelt ont déjà hissé le pays parmi les leaders africains en matière d’énergie verte.
Le Qatar, de son côté, cherche à diversifier ses investissements à l’étranger et à renforcer sa présence dans les filières technologiques et énergétiques durables. L’intérêt pour le Maroc s’explique par la stabilité du cadre réglementaire, la proximité géographique et le potentiel d’exportation vers l’Afrique et l’Europe.
Une coopération axée sur l’innovation
La rencontre entre la FENELEC et la Qatar Chamber ne s’est pas limitée aux échanges commerciaux. Elle a aussi mis l’accent sur la recherche, la formation et le transfert de technologies, avec la volonté de bâtir des partenariats industriels durables. Les entreprises marocaines du secteur électrique et électronique, reconnues pour leur savoir-faire, pourraient ainsi bénéficier d’un accès privilégié au marché du Golfe, tandis que les investisseurs qataris trouveraient au Maroc une porte d’entrée vers le continent africain.
Un avenir prometteur pour les relations maroco-qataries
Si aucun projet concret n’a encore été officiellement annoncé, cette rencontre témoigne d’un intérêt croissant du Qatar pour le marché marocain. Dans un contexte mondial où la transition énergétique devient une priorité, le Maroc apparaît comme un partenaire stratégique incontournable pour les pays du Golfe en quête de diversification et d’innovation durable.
Un partenariat économique en construction
Cette réunion, qui s’est tenue à Doha, marque une étape importante dans la consolidation des relations économiques entre les deux pays. Les discussions ont porté sur les opportunités offertes par le Maroc dans le secteur des énergies renouvelables — notamment le solaire, l’éolien et les technologies électriques — ainsi que sur les possibilités d’investissement qataries dans l’industrie marocaine en pleine modernisation.
Selon la Qatar Chamber, les échanges commerciaux entre les deux pays ont atteint près de 988 millions de rials qataris en 2024, soit environ 2,77 milliards de dirhams marocains. Un chiffre qui témoigne d’une relation déjà solide, appelée à croître avec le développement du secteur énergétique vert.
Le Maroc, un hub énergétique africain
Grâce à ses politiques ambitieuses en matière de transition énergétique, le Maroc attire depuis plusieurs années de grands acteurs internationaux. Le Royaume vise à porter la part des énergies renouvelables à plus de 50 % de son mix énergétique d’ici 2030. Des projets emblématiques comme le complexe solaire Noor à Ouarzazate ou les parcs éoliens de Tarfaya et Midelt ont déjà hissé le pays parmi les leaders africains en matière d’énergie verte.
Le Qatar, de son côté, cherche à diversifier ses investissements à l’étranger et à renforcer sa présence dans les filières technologiques et énergétiques durables. L’intérêt pour le Maroc s’explique par la stabilité du cadre réglementaire, la proximité géographique et le potentiel d’exportation vers l’Afrique et l’Europe.
Une coopération axée sur l’innovation
La rencontre entre la FENELEC et la Qatar Chamber ne s’est pas limitée aux échanges commerciaux. Elle a aussi mis l’accent sur la recherche, la formation et le transfert de technologies, avec la volonté de bâtir des partenariats industriels durables. Les entreprises marocaines du secteur électrique et électronique, reconnues pour leur savoir-faire, pourraient ainsi bénéficier d’un accès privilégié au marché du Golfe, tandis que les investisseurs qataris trouveraient au Maroc une porte d’entrée vers le continent africain.
Un avenir prometteur pour les relations maroco-qataries
Si aucun projet concret n’a encore été officiellement annoncé, cette rencontre témoigne d’un intérêt croissant du Qatar pour le marché marocain. Dans un contexte mondial où la transition énergétique devient une priorité, le Maroc apparaît comme un partenaire stratégique incontournable pour les pays du Golfe en quête de diversification et d’innovation durable.